Clic. Clic. Baise.

Quelle idée, photographier l'ensemble du personnel pour promouvoir la société, et en plus, elle passait en dernière vers 18h30 et devait fermer la structure. Claudia pestait! Elle s'était renseignée sur ce photographe, il avait pas mal voyagé et avait monté une agence indépendante de photos, tout en conservant son activité de "photos-boudoir" ce qui avait bien fait rigoler l'ensemble des collègues.
Elle arriva en retard, et découvrit un homme d'environ 45ans, très propre sûr lui qui visionnait les photos de la journée. Elle s'excusa, et il lui lança en rigolant "ça me change des tops models". Piquée au vif, elle fila se changer dans le vestiaire situé en façe de lui. Elle oublia alors de fermer complétement la porte, ce qui lui permit d'assister discrètement à la scène. Elle avait revêtue une jolie tunique qui mettait en valeur ses jambes. Il lui demanda de s'installer à son poste de travail afin de pouvoir la shooter dans son espace de travail, lorsque le téléphone sonna. Elle se précipita sur le téléphone situé de l'autre côté du bureau, ce qui eu pour effet d'offrir au photographe une vue intéressante sur le haut de ses bas et sur le porte-jartelle qui serrait sa taille. Elle tira alors doucement sur sa tunique pour la faire descendre tout en terminant son coup de fil. 5 minutes après ce coup de fil, il lui indiqua qu'il avait terminé, et que de toute façon il pouvait les retoucher . Elle fila se changer, un peu vexée tout de même. En voulant enlever sa tunique, elle la coinça dans ses cheveux, et se retrouva prisonnière. La porte restée ouverte, il pouvait profiter de ce moment. Il sortit discrètement son appareil et continua à shooter tout en se rapprochant d'elle. clic. clic. Elle l'entendait se rapprocher,et une bouffée de chaleur l'enveloppa. Afin de décoincer, sa tunique, elle décida de se pencher vers l'avant, ce qui eu pour effet immédiat d'offrir au photographe une vue intégrale sur ses fesses gainées dans le body-jartelle en satin. Il était derrière elle désormais et en se redressant, elle sentait son sexe.

What an idea, photographing all the staff to promote the company, and in addition, she had to work until 18:30 and close the building. Claudia was mad! She was informed about this photographer, he had traveled a lot and had started an independent photo agency, while maintaining his "Photo-boudoir" which had made all her colleagues laugh. She arrived late, and discovered a man about 45 years, very clean, viewing the photos of the day so far. She apologized, and he laughed, saying "it makes a change from supermodels." Stung, she looked sure to change in the locker room located behind him. She forgot to close the door completely, which allowed him to attend quietly to the scene. She had dressed in a pretty tunic that showed off her legs. After she was dressed, he asked her to set up her workstation so he could shoot in the workspace when she was on the phone. She sat on the other side of the desk, which had the effect of offering the photographer an interesting view of the top of her stockings and garter. She tugged gently on her tunic to move it down while finishing the call. 5 minutes after that phone call, he indicated that he had completed it, and anyway he could touch them up afterwards. She left to change, a little upset still. In wanting to remove her shirt, she caught her hair, and found herself a prisoner. Through the open door, he could enjoy this moment. He quietly took out his camera and continued to shoot while approaching her. click. click. She heard him come closer, and a hot flash rushed through her. She loosened her tunic, and turned around, which had the immediate effect of offering the photographer a full view of her buttocks clad in satin suspenders. He was behind her now and turning around, she felt his sex.