Le summum de la pénétration

A Sexual Fantasy

— By Isadora Lima

Je me suis fait tatouer pour la première fois hier sur la hanche. Je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans sa chambre, parce qu'il avait son visage si proche de mon corps ou si c'est parce que c'était si intime pendant une couple d'heure, mais j'ai ressentie une tension jamais expérimenté au paravant, au-delà du sexuel. Ses doigt retenait ma peau, son corps s'accotait sur le miens pour tracer son art, à la main levée, dans ma chair. Sa pénétration allait outre le contact douloureux de l'aiguille, mais était métaphysique. Je retenais mon souffle pour ne pas déconcentrer la précision de ses traits, mais ce contact particulier avec l'éternité de son art sur ma peau me fit ressentir un lien particulier avec cette homme que je connaissais a peine, en fait, aucunement. Après trois heure de tension physique, il déposa son aiguille, et désinfecta doucement le tracé délicat sur ma hanche. Je ne sais pas si c'est parce qu'il ressentie mon regard le percer, ou mon souffle s'accélérer, mais je n'ai même pas eux besoin de lui expliquer l'état de mes désirs pour qu'il glisse doucement ses doigts , encore recouvert d'un gant, doucement sous ma culotte pour atteindre mon sexe et me pénétrer une deuxième fois. Tout c'est passé si vite et si intensément, dans une douleur presque inconfortable mais trop satisfaisante. Couché sur la chaise à tatouer placé dans sa chambre, il écarta mes jambes pour me pénétrer violemment en appuyant sur sa création fraichement tracée, laissant des traces d'encre sur l'entité de mon corps. Il me prit et me fit tomber dans son lit, placer à quelque pas de sa chaise à tatouer, où on traça sur ses draps blanc le fût de nos ébat avec l'encre frais sur nos chairs de son art.

I got tattooed for the first time yesterday on the hip. I do not know if it was because I was in his room, because he had his face so close to my body, or if it was because it was so intimate for a couple of hours, I felt a tension never experienced before, beyond the sexual. His finger held back my skin, his body clung to mine to draw his art, hand raised, in my flesh. His penetration went beyond the painful contact of the needle, but was metaphysical. I held my breath so as not to disturb the precision of his features, but this particular contact with the eternity of his art on my skin made me feel a special bond with this man I hardly knew, in fact, in any way. After three hours of physical tension, he put down his needle, and gently disinfect the delicate course on my hip. I do not know if it is because he felt my eyes pierce him, or my breath accelerate, but I did not even need to explain to him the state of my desires so that he gently slipped his fingers, still covered with a glove, gently under my pants to reach my sex and penetrate me a second time. It all happened so quickly and so intensely, in a pain almost uncomfortable but too satisfactory. Lying on the tattoo chair placed in his room, he spread my legs to penetrate me violently, pressing his freshly traced creation, leaving traces of ink on the entity of my body. He took me and made me fall into his bed, placed a few paces from his tattoo chair, where on the white sheets we traced the barrel of our frolics with the fresh ink of his art on our flesh.